Le beau village. On avait pris une route étroite et sinueuse,
qui se lançait à l’assaut de la colline. Au sommet, une placette ombragée, et comme en Gaume, de grandes espaces devant les maisons. On y avait installé quelques tables, deux ou trois chaises. Et derrière l’ombre des grands arbres, voilà le joli café de Williers… |