Les belles Malouines (3/5) - Partir en villégiature.
C’était quitter le quotidien ! A l’époque on prenait le train. On rêvait déjà dans les volutes de charbon et dans le staccato des rails. Et voilà l'odeur de moules et les picotements des embruns. Et voilà ! On était bien ! On venait de rejoindre sa villa… (à suivre…) |