La Palme. On y vit sous les branches des grands palmiers séculaires…
Entre les portes de la Barbacane et celle de l'Horloge, dans les ruelles étroites, on se sent comme à l'abri de la fureur du monde. Il y a un petit bistrot sans prétention, le patron fait la cuisine lui-même. L'on y mange bien... Vraiment bien ! Finalement, ça ne me déplairait pas de finir mes jours à La Palme… |