Illusoires abris. C'était un de ces jours où les perturbations atlantiques nous mitonnaient quelque violence...
Les nuages traversaient le ciel d'Arville comme des TGV fous. La tête rentrée dans les épaules, on regagnait d'illusoires abris... Les Ardennais, avec leur tonne de muscle bien plantée sur 4 solides colonnes n'en avaient cure. La tempête pouvait arriver. Ils ne frémiraient pas d'un pouce... |