Quatre heures quarante. Du soir. Un faisan hésite, au milieu de la route.
Et bon enfant, s'en va vers le champ de maïs. Quatre heures quarante. Du soir. Sur la route d'Ossogne. Comme tout le monde, on discute du pays qui fout le camp. Et puis, on s'en fout après tout... Nous, on est du Deep Condroz... |