Le Condroz que j'aime (14/14). Tahier, et après, la forêt...
Des bancs faits de belles poutres, creusés par des siècles de genoux. Un volume simple et élégant, des murs blancs. Tahier. Une des plus belles chapelles d'ici, entourée d'arbres centenaires. Et après, plus rien... Plus de maisons, plus de châteaux... Non, rien que quelques prés et la forêt au dessus du tige. Une des plus belles forêts d'ici. C'était l'endroit où finir ce voyage... (Fin.) |