Le Condroz que j'aime (10/14). Emptinne, un dimanche après-midi.
Dire que c'était le calme plat n'est pas suffisant. Il y avait en plus une lourdeur palpable dans l'air. Sur la place et dans tout le village, on n'entendait rien ! Sauf le sifflement saccadé de l'air qui entrait dans le canoë. Un bruit aussi rauque et incongru qu'un bateau sur les marches d'une l'église... (à suivre...) |