Le Condroz que j'aime (3/14). Comme un lézard paresseux...
Nous faisions route vers Goesnes, un des plus beaux villages d'ici... Comme un lézard paresseux qui ondule doucement au soleil, le sentier traçait sa route de lui-même au milieu des champs de blé. Il n'y avait qu'à se laisser faire et à le suivre... (à suivre...) |