Sur la route de Courouvre. Je venais de grimper la côte - méchante - de Lahaymeix.
Mon coeur battait la tocante, ma roue grinçait... Mais, pas le temps de m'arrêter pour nettoyer le dérailleur. Des nuages fous entraînaient les éoliennes de Belrain dans une sarabande infernale. La pluie fouettait déjà la vallée de l'Aire et l'orage grondait sur Nicey. Croyez-moi, je n'en menais pas large... |