Quand on entre en Flandre zélandaise, on respire !
Fini les buildings, les entassements de bibelots et de magasins, au diable les foules bruyantes... Plus que le bruit du vent dans les ajoncs, le sifflement du pneu sur la piste cyclable... Après deux heures de vélo, on aperçoit enfin la noire silhouette du phare. Il était temps ! On avait faim ! Et, il annonce Breskens, son port et les baraques à poissons... |