Printemps de Meuse (4/6) - Un samedi matin, au creux du coude...
Elle est tendre comme la lumière, alors on s'enfonce en douceur dans l'herbe du halage. Le regard s'égare dans les collines, se perd dans les bois sombres et sans fin... Un samedi matin a Aubrives, niché au plus doux du coude de la Meuse... (à suivre...) |