Brumes de Meuse (2/6). De chez moi, je parcours 500 m avant d'arriver ici.
Encore un coup de pédale et se laisser emporter... Plus que le glissement du pneu sur le goudron. Plus que le vent froid du matin qui gifle doucement le visage. Après les virages négociés en souplesse, on entre dans la nappe de brouillard. Les bruits sont alors étouffés... Sensation de douceur... Et voici l'odeur vivante de la Meuse... (...à suivre) |