Un hiver à Lisbonne (21/22). Parfois, il n'y a même pas besoin de lever le nez...
C'est la musique qui vous happe et appelle le regard... C'était une mélopée très douce, triste et entétante, sans doute de Madredeus, qui s'en venait du ciel. Mais, je crois que ça venait plus prosaïquement de la fenêtre de droite, au deuxième étage. Regardez bien, celle qui est légèrement entrouverte... Et cela m'a fait penser au poème de José Régio : Le fado est né un jour Où le vent soufflait à peine Où le ciel et la mer se confondaient Sur le pont d'un voilier Dans le coeur d'un marin Qui était triste et chantait... (à suivre...) |