Des hommes stoïques. La nuit arrivait. Un froid implacable fondait en même temps que le soleil sur l'étang.
Stoïque, insensible aux frimas et à la froidure, l'inévitable pêcheur restait là, inébranlable et imperturbable. Je voudrais ici lancer un hommage solennel à ces hommes des bords d'étangs et de rivières qui, mains et pieds gelés, préferent affronter l'humidité glaçante de l'eau et le froid sibérien, plutôt que de renter chez eux et passer une interminable soirée avec une femme acariatre... |