Portrait mélancolie (11/15). Entre la rocaille et les fleurs...
L'endroit s'appelait Froidlieu, mais la matinée de mai s'annonçait chaude, voire un peu lourde. Je ne me souviens plus de qui j'ai d'abord voulu faire le portrait : de Michel qui s'en allait d'un pas décidé et qui bientôt disparaîtrait derrière l'horizon ou de l'arbre isolé, démarcation entre la rocaille et le champ fleuri... (à suivre...) |