Villes blanches du Nord (5/7). Scène 4 - Repos éternel.
Nous avions d'abord cru qu'il était mort. Il était tellement immobile... La nostalgie de l'automne et la quiétude profonde du lieu se prêtaient d'ailleurs bien au repos éternel... Nous sommes revenus sur nos pas. Il n'avait pas bougé. Rien. Nada... Nous avons quand même remarqué une légère vibration des poils de narines... Ouf! (à suivre...) |