De l'aube à l'aurore (6/6). Je suis passé chez Bernard.
Dans l'espoir d'un de ces cafés chauds et corsés qui vous font tellement de bien le matin. Mais, par une fenêtre entrouverte, s'échappaient régulièrement de profonds ronflements qui faisaient trembler les délicats pétales de la glycine. Huit heures, c'est bien trot tôt ! (Fin) |