De l'aube à l'aurore (1/6). J'ai mis le nez à la fenêtre alors que l'aube pointait sur la colline de Bonneville.
La rosée m'a fait frissonner. Vite, un chandail. Vite, une tasse de café, très chaude, au creux des mains. Je suis parti dans lumière rose et indéfinissable du petit matin. Premier arrêt dans le verger de Strud. Les vieux bois émergeaient de la brume. Les brebis se réveillaient... (à suivre...) |