Effroi. Lugubre et même un rien effrayant, le château de Bormenville.
Je me souviens d'avoir traîné ici un jour d'épais brouillard. Même très dense, on peut le dire. Subitement, le long des douves, nous avons vu s'avancer vers nous une silhouette. Inquiétante et immense, la silhouette. Nous n'en menions pas large. Bormenville n'inspire pas l'optimisme et la paix de l'âme! Pour découvrir finalement que le monstre si effroyable dans le brouillard n'était qu'un paisible cavalier... |