Les cerises. Il y en partout. Bien rouges, ventrues, joufflues.
On ne peut même plus appeler ça de la maraude, avec ces branches lourdes, prêtes à casser, qui pendent au-dessus de la route. Finalement, on devrait pouvoir arriver à se débrouiller avec ce qu'on trouve au bord des chemins... Bien sûr, il resterait le vin, le pain et l'huile d'olive ! |