Sur la route de Gourgounel... (8/8)
Je suis resté assis face aux montagnes. Dans la cour, envahie par les herbes folles, la bruyère et les gênets, sous le châtaignier où Kenneth White passait parfois ses nuits. Cette nuit-là, les étoiles étaient ternes comme de l'or sale, et quand vint le matin Gourgounel était plongé dans les nuages. Il y avait la maison grise, et tout autour une immense solitude brumeuse. (...) Mon impression d'être sur un bateau, ici à Gourgounel, Etait plus forte que jamais. (K. White, 1986, 39) Longtemps après, alors que le soir commençait à descendre sur le Tanargue, je me suis levé. Et, je suis redescendu dans la vallée (Fin) |