Le plateau du Condroz, âpre, avec les bourrasques qui soufflent de la Meuse.
Je me souviens d'une histoire de Jean Tousseul, notre grand écrivain marxiste. La triste fin d'un ouvrier rentrant chez lui, épuisé, par une neige épaisse, et dévoré par ses chiens. Cela s'est passé ici... |